Yoshimaru Hisae. [Terminée]

°* ~Yoshimaru Hisae, le fléau du restaurant~ *°

I/ Formulaire de la carte d'identité

#Nom de Famille : Yoshimaru.
#Prénom : Hisae.
#Age : 39 ans. Après tout, c’est un fantôme. ^^
#Age de la mort : 19 ans.
#Lieu d'habitation : Elle n’habite que dans les hôtels-restaurants. Vous ne la trouverez jamais autre part.

#Groupe et/ou rang : Obake.
#Animal de compagnie ? Une coccinelle nommée Patchouli. Elle est facilement reconnaissable puisque c’est aussi un fantôme. Elle reste toujours sur l’épaule d’Hisae et lorsqu’elle revient d’une balade, la jeune femme compte les points noirs sur son dos pour s’assurer que c’est bien sa chère Patchouli. Hisae pense que cette coccinelle est une fille. Mais c’est en réalité un mâle avec sur chaque aile rouge 4 points noirs.

II/ Livret familial

#Histoire : (minimum 15 lignes)
Je pense avoir déjà assez parlé de la famille de cette jeune femme. Donc passons à son histoire, son histoire à elle. Hisae. Un prénom synonyme de résistance. Ce prénom, il est du au miracle de sa naissance. Ce petit bébé, dans le ventre de sa mère était pressé de voir le monde. Il se dépêcha de se développer plus ou moins rapidement, mais neuf mois, c’était beaucoup trop long à attendre. Alors à sept mois, excitée à l’idée de sortir, ce bout de fillette se décida à venir au monde. C’était seulement, beaucoup trop tôt. L’accouchement fut bien difficile et entouré d’inquiétude. Mais étrangement, tout ce passa pour le mieux, et pour le bébé, et pour la maman. Mais pour les deux, il aura fallu tenir le coup. Alors on nomma la petite Hisae. C’était un adorable petit bébé tout rond, tout doux. Le genre de bébé que l’on croquerait bien. Tout se passa à merveille pour cette petite créature. Son enfance fut parfaite, gâtée par la nature et par ses parents. Les années passaient, elle aidait à la blanchisserie, regardait parfois son mage de père faire des tours rigolo juste pour elle. Son frère l’initiait à l’art de la calligraphie dont il était passionné tout en rêvant de travailler un beau jour dans la restauration. Les années défilèrent, une, deux, quatre, dix, dix-sept.

A dix-sept ans, elle commença à voler de ses propres ailes. C’est à cette époque qu’elle fit la rencontre de sa vie. La plus importante, la Number One du top 10. En ces temps là, l’épidémie n’avait pas encore éclatée. C’était les beaux jours ensoleillés. La vie était belle, les oiseaux gazouillaient, tout allait pour le mieux. Hisae était assez belle pour se marier avec le plus riche des garçons, l’avenir semblait brillant pour elle. Aussi, semblait-il qu’elle pourrait parfaitement devenir serveuse dans un grand restaurant. Ces parents s’arrangèrent avec le gérant d’un de ces commerces, un beau jeune homme de 22 ans nommé Tsugaru Kuhei. Elle fut facilement engagée et devint donc la serveuse du restaurant. La fille qui vous demande votre commande et vous l’apporte. Elle commença donc à travailler, avec sa joie de vivre habituelle. Elle aimait énormément ce qu’elle faisait, même si certaines personnes peuvent penser cela ridicule. Son patron, le fameux Kuhei était un coureur de jupons infidèle, profitant de sa popularité avec les femmes pour, disons, se faire plaisir. Il regardait souvent sa jolie serveuse de haut en bas, lorsqu’elle passait entre les tables. Hisae ne pouvait qu’ignorer les regards de ce jeune homme, mais elle le voyait, la dévorer des yeux. Puis vint un soir, à l’heure de la fermeture. La jeune Yoshimaru était sur le point de rentrer chez elle, tranquillement. Elle était restée un peu plus longtemps que ses collègues pour nettoyer. Kuhei sembla vouloir profiter de la situation pour engager la conversation, voir un peu plus :

- Yoshimaru-san ? Il est un peu tard, vous devriez déjà être rentrée chez vous, non ?

La jeune femme voulue se retourner, reconnaissant immédiatement la voix de son patron mais ce dernier l’enlaça avant, croisant ses bras sur le ventre de son employée pour la retenir :

- Ou peut-être que vous souhaitiez me voir ? Hmm ?

Il avait ajouté ça d’un ton malicieux, tout en laissant sa main glisser le long du corps de la serveuse, atteignant doucement sa poitrine. Mais mademoiselle n’était pas de ces filles-là. Elle resta cependant de glace et esquissa un sourire. Il était vrai que cet homme était attirant. Mais Hisae n’avait pas l’intention de se laisser faire sous prétexte qu’il était attirant :

- Si vous avez l’intention de coucher avec moi, alors il faudra d’abord me séduire et m’épouser.

Et étrangement, comme une flèche en plein cœur, Monsieur Tsugaru desserra son étreinte et fit un pas en arrière. C’était clairement un refus à ses yeux. Il ne faut pas non plus rêver, il ne réussissait pas à tous les coups. Mais il fallait avouer que la façon dont elle avait annoncé son refus n’était pas non plus courante. Généralement c’était plus « Kya ! Bas les pattes pervers » avec des coups dans le ventre et autres réactions défensives. Il décida donc de répondre de façon moqueuse. Il posa une main sur sa poitrine au niveau du cœur et par un petit jeu d’acteur volontairement mauvais, il posa l’autre sur son front, dégageant son visage de quelques mèches de cheveux et montrant ainsi son accablement :

- Ahh ! Votre refus a profondément blesser ma fierté d’homme ! Désormais, je ne pourrais sans doute plus me regarder dans un miroir, il reprit une pose plus décontractée plongeant son regard amusé dans les yeux de sa jeune serveuse qui s’était retournée, Peut-être Dieu vous pardonnera-t-il si vous acceptez que je vous invite dans un bar près d’ici.

Discours peut-être un peu prétentieux et farfelu, mais il espérait bien ainsi pouvoir la saouler. C’était à essayer en dernier recours, généralement. Mais Hisae n’était pas née de la dernière pluie non plus et voyait clair dans son jeu :

- Je tiens mieux l’alcool que mon frère, sa femme et mes parents réunis. Et Dieu seul sait combien les hommes de chez moi peuvent boire. De plus, boire comme un trou n’est pas très féminin. Bien, je dois y aller. Tsugaru-san.

Après une petite courbette en guise de respect, Hisae sortit sereinement du restaurant pour retourner chez elle, laissant perplexe cet homme. Le lendemain elle retourna travailler sans aucune crainte, mais avec un petit brin de curiosité. Elle était quasiment sûre qu’elle ne se ferait pas virer sans raison. Elle avait entendu dire que son patron était un homme joueur, aussi dragueur soit-il. De plus, c’était un homme honnête. Ce fut une journée des plus normales, enfin, presque. Les sourires que lui envoyait Kuhei étaient plus fréquents et finalement, en plein milieu d’un service, Monsieur le patron interpella son employée :

- Yoshimaru ! Vous êtes invitée au restaurant le plus chic de la ville, au bout de la rue, demain à midi et demie pendant votre congé spécial. C’est de la part d’un grand et beau ténébreux, bien habillé et tout à fait charmant qui accepte votre défi de la veille.

Elle était juste sur le point de prendre une commande. Elle avait tout à fait compris. Elle connaissait bien ce restaurant, très cher mais délicieux. Elle voyait parfaitement lequel c’était. De plus, avec cette histoire, elle avait semblerait-il gagner un jour de congé. Elle lâcha un petit rire :

- Je tâcherais de m’en souvenir. Mais c’est étrange, je ne connais aucun grand et surtout beau ténébreux…

Juste assez fort pour être entendue sans déranger la clientèle, elle était contente d’elle-même. C’était bien sûr de l’ironie, une taquinerie. Kuhei aurait voulu répondre mais son employée avait déjà repris son travail et il était inutile de déranger encore plus les clients. C’est ainsi que commença un jeu pour Mademoiselle, et un long combat pour Monsieur. Un jeu qui dura plus d’un an. Vous vous demandez sûrement comment ils avaient fait pour ne pas s’en lasser ? Parce que ce fameux lendemain, le jour du restaurant, cette histoire devint bien plus qu’un jeu. Du moins pour le jeune gérant. Hisae ne se laissait pas approchée facilement. Et plus Kuhei tentait de la séduire, moins il y arrivait. C’était ainsi qu’un long repas avait commencé. Alors que lui se tordait dans tout les sens pour la séduire, elle restait de marbre en souriant. Il ne s’en rendait pas compte mais subtilement, à sa façon, c’était elle qui était en train de le séduire. Puis à un moment, le patron eut une parole un peu maladroite, alors que le sujet portait sur les conquêtes passées des deux jeunes gens :

- De toute façon, si je ne gagne pas ce n’est pas grave, je peux avoir toutes les filles que je souhaite. Vous n’êtes pas aussi importante.

Il se rendit à peine compte de l’ampleur de ce qu’il disait, mais tout ce qui retenti ne fut qu’un petit rire, léger et discret, le rire féminin par excellence :

- Cela vous fait rire ?
- Oui. Parce que, vous dites cela mais, cherchez bien, vous êtes déjà tombé amoureux de moi.

A ces paroles, ce cher coureur de jupons recracha son saké et son teint vira à l’écarlate instinctivement. Il était bel et bien amoureux, mais s’efforça de nier le contraire, tant à elle qu’à lui-même :

- Pff ! Et puis quoi encore ? Moi ? N’importe quelle fille ferait l’affaire ! On ne tombe pas amoureux aussi rapidement, malgré cela, il n’était pas sûr de lui et cela se voyait parfaitement :
- Votre expression ne me suggère pas ça. Où est donc passé le fier, grand et beau ténébreux avec qui j’avais rendez-vous ?

Avec un sourire empli de malice, elle fixait son vis-à-vis avec insistance. La réponse vint rapidement. Il tenta par tous les moyens de se justifier mais elle trouvait toujours quelque chose pour le contrer. Finalement, le repas finit par un départ précipité du jeune homme déboussolé. La suite ne fut qu’un jeu de séduction de gamin. Il finit par se l’avouer, il était amoureux. Plus très crédible, le coureur de jupons. Mais dès lors, il fit tout pour la séduire. Non pas juste pour coucher avec, mais parce qu’il l’aimait et qu’il voulait qu’elle l’aime en retour. Il fallu un an à Hisae pour en tomber réellement amoureuse. Alors ils commencèrent à sortir ensemble plus souvent, se comporter comme un couple. Il la demanda en mariage quelques mois plus tard et elle dit « oui » sans la moindre hésitation. C’était le premier évènement majeur dans la vie de Mademoiselle Yoshimaru. Le deuxième, c’est sa mort, un an après ses fiançailles, alors que l’épidémie faisait ses premières victimes.

Sa mère et son père en moururent. Suivirent ses deux petites sœurs, plongeant d’abord Hisae dans un profond désespoir. Elle s’en retrouvait bien moins souriante au travail. Plus pensive, maladroite, les choses n’allaient plus du tout pour elle. Son cœur était déchiré. Son neveu fut victime de cette maladie peu après, l’achevant presque. Puis la femme de son frère. En 5 mois, de sa famille ne restait que son frère désespéré après avoir perdu se qui lui était le plus cher. Pour adoucir la situation, heureusement, il lui restait son futur mari. Sans doute cela aurait été pire, si cet homme n’avait pas été là. On aurait pu croire qu’avec une famille aussi touchée, ce fut la maladie qui tua également la jeune serveuse. Mais ce ne fut pas le cas. Non, elle est son frère résistaient bien. Elle particulièrement. Elle était forte, c’était indéniable. Mais vous vous demandez alors, comment est-elle morte ? Ne sous-estimez jamais le puissant pouvoir d’une cage d’escalier. Hisae est morte simplement. Un bête accident, une semaine avant son mariage. Elle travaillait tranquillement et se rendait aux toilettes en sifflotant. Elle passa devant les escaliers qui descendaient vers la cave. Un gamin turbulent passa en courant et la bouscula. Elle tomba simplement dans les escaliers. Coup du lapin sérieux et à plusieurs reprises. Pas de chance. Elle s’écrasa brutalement le crâne contre une porte en bois qui finit de l’achever. C’est ainsi que Hisae mourut. En tombant bêtement dans des escaliers.

Son grand frère en fut des plus désespérés. Il se suicida un mois plus tard. Son mari aussi fut atrocement tourmenté par ce décès. Mais aux yeux de Hisae le fantôme qui haïssait déjà ces idiots de clients des restaurants pour l’avoir tuée trouva sa remise en forme plutôt rapide. Un an et demi après, il se maria avec la nouvelle serveuse engagée pour la remplacer. Ce qui finit d’enrager l’esprit errant de notre jeune protagoniste. Particulièrement contre les hôtels-restaurants, leurs serveuses, leurs patrons, et leurs clients. Bref, la majeure partie des gens qui sont à l’intérieur. Hisae se mit donc à les « hanter » et à tout faire pour effrayer les clients. Pas seulement dans la propriété de son ancien fiancé mais aussi les autres. Une sorte de fléau qui faisait fuir les clients. C’est ce qu’elle devint, et ce qu’elle est aujourd’hui. Voilà son histoire.

Bienvenue sur Akiyume ^^
Encore une excellente rpiste *w*

Bienvenue =]

#Famille : Toute sa famille à été décimée par la maladie il y a vingt ans de cela. Sa mère était blanchisseuse, son père était lui, un mage modeste, sans grand talent. Elle avait avant un grand frère calligraphe, marié et bien heureux avec une jolie femme rousse qui lui donna un fils, le neveu de Hisae. Elle avait aussi deux petites sœurs jumelles, trop jeunes pour s’occuper d’elle-même et qui enviaient leur grande sœur dont le mariage approchait à grand pas. En effet, cette jeune femme était fiancée. Elle était amoureuse et allait se marier à un jeune homme intelligent et beau, qui gagnait bien sa vie en tant que gérant d’un grand hôtel-restaurant.

#Histoire des parents : (minimum 3 lignes)
Mariage arrangé. C’était ainsi qu’ils s’étaient tout les deux rencontrés. Au début, c’était monsieur qui n’était pas d’accord. Pour lui, un mariage arrangé, c’était l’horreur. Il ne voulait pas passer le reste de ses vieux jours avec une femme qu’il n’aimait pas. C’était tout à fait compréhensible. Mais elle, cela ne la dérangeait pas. Parce qu’elle l’avait déjà vu, bien avant que le mariage soit arrangé et en était tombée amoureuse. Mais parlons un peu des deux familles. Ils étaient tous propriétaires de petits commerces. Dans la même branche : la blanchisserie. Teinturiers également. Ils gagnaient tous leur vie tranquillement mais continuellement se battaient pour la clientèle. Leur boutique était l’une à côté de l’autre. La concurrence faisait rage et la vie était horrible pour les deux camps. Finalement, dans la famille du père d’Hisae, un nouvel enfant allait naître. Et cette famille ne souhaitait en aucun cas que leur nouveau fils grandisse dans cette ambiance tendue, cette rivalité. Ils proposèrent donc à leurs concurrents de s’associer. Les parents de la demoiselle refusèrent en premier lieu. C’était pour eux hors de question. Mais leur fille, elle y vit une opportunité. Car n’oublions pas que elle, elle était folle amoureuse du fils aîné de la famille ennemie. Et qui dit association d’entreprises, dit mariage arrangé. Alors elle avait incité ses parents à accepter, moyennant un petit mariage. C’est donc ainsi que le mariage eut lieu, trois jours après leur véritable rencontre. Le père d’Hisae eut une sorte de coup de foudre pour cette jeune femme, alors qu’il se trouvait plutôt réticent au sujet du mariage. Cela lui permit de se marier sans trop de regret. Mais ce ne fut que quelque mois plus tard, qu’il tomba réellement amoureux de sa femme. Voici la petite histoire des parents d’Hisae.

III/ Annonce du Speed Dating

#Caractère : (minimum 7 lignes)
Le caractère d’Hisae ? Rien de bien énormément extraordinaire. Ne vous attendez pas à un énorme pavé comme pour l’histoire. Je suis pressée de RP et je suis fatiguée. Je vais donc faire moins long, ce sera plus simple.

Pour commencer, Hisae est parfaitement extravertie. Elle n’hésite pas à dire ce qu’elle pense, à donnez son avis, à être insolente. Les mots ne lui font pas peur, et les autres non plus. Elle fait ce qui lui fait envie. Point final. Vous n’êtes pas content ? Tant pis pour vous ! Ses sentiments sont aussi particulièrement extériorisés. Du moins lorsqu’il s’agit de joie ou de haine. Lorsqu’elle est triste, sa force naturelle à réprimer ce genre de choses font qu’elle préférera se replier sur elle-même plutôt que de s’ouvrir aux autres. Hisae est juste fière. Elle a énormément confiance en ses capacités et son passage à l’état de fantôme n’arrangea rien. Ses nouvelles capacités lui firent prendre un peu la grosse tête disons. Comme quoi personne ne pouvait l’attraper, elle pouvait faire ce qu’elle voulait et pourrir la vie des clients d’hôtels et de restaurants. Oui, elle avait énormément confiance en elle au point d’en développer un certain ego. Hisae s’adore. Elle est la seule personne qu’elle aime. Disons qu’elle avait pris le rapide mariage de son ancien fiancé comme une trahison. La pire de sa vie qui la ferma au monde entier.

En fait, elle se venge. Elle se venge des malheurs de sa vie en menant une vie infernale à certain hôtels-restaurants. Elle est en quelque sorte habitée par la haine et le sentiment d’avoir été abandonnée. Seulement, elle se comporte en gamine gâtée, toujours sourire aux lèvres, sautillant partout et mettant en avant les avantages d’être déjà mort. Être un fantôme lui plaît. Elle aime tout ce qu’elle fait parce que cela l’amuse et qu’elle aime s’amuser. Et un rien la fait rire. La blague la plus pourrie sortie des méandres de l’esprit d’un fou la fera sans doute exploser de rire. Souvent, elle se mettra à rire de rien. Juste comme ça. Mais ne vous faites pas d’idée. Rares sont ceux qui peuvent la voir. Elle se cache des yeux du monde. Elle ne fait exception que pour effrayer les gens la nuit où bien l’évènement particulier chaque année. L’anniversaire de sa mort. C’est assez méchant, je vous préviens. Disons que ce jour-là, elle se sent toujours incroyablement en colère et peu importe le restaurant qu’elle choisi, elle y poussera quelqu’un dans les escaliers, faisant toujours en sorte que cette personne soit un client et qu’il la voit. Manière de dire : « Regardes, c’est toi, foutu client, qui m’a tué et m’a volé mon bonheur ». Elle aurait pu se marier, se remettre du décès que la quasi-totalité de sa famille. Mais on l’avait tué avant. Pour le moment, personne n’était mort. Mais cela restait dangereux.

Au fond d’elle, Hisae déteste le monde entier. Mais tout ce que l’on pourrait voir, c’est une gamine, une gamine qui s’amuserait à jouer des tours aux clients du restaurant.

#Physique : (minimum 7 lignes)
Mademoiselle Yoshimaru n’est pas des plus laides. Non. Je ne vous ferais pas un de ces portraits idéalisés où la jeune fille est belle au point d’avoir tous les hommes à ses pieds prêts à assouvir le moindre de ses désirs. Hisae est jolie. Ce n’est pas un canon de beauté mais elle est juste ce qu’il faut. C’est pour cela qu’elle a été gâtée. Et bien qu’elle possède déjà 39 ans (ne pas dire quarante, bien qu’elle soit un fantôme, elle reste susceptible sur ce point), elle fait toujours ses 19 ans. Après tout c’est un fantôme. Ces choses-là restent figés. Laissez-moi vous parlez un peu des points importants. Même si de toute façon, l’unique chose que vous ne pourrait jamais voir d’elle sera les traces de d’encre noire sur votre visage au petit matin, si vous dormez à l’hôtel bien sûr.

Je commencerais par ses cheveux à la couleur naturelle tout à fait inhabituelle. Ils sont châtains clair. Clairs, clairs à un point ! Si clairs qu’on les voit blancs en plein lumière. Avec des ombres qui vont du violacé au rosé. Ils ne sont pas particulièrement longs. Ils dépassent à peine ses épaules. Je dois dire que si l’on devait la remarquer, ce serait sans doute par ses beaux cheveux aux reflets étranges. Ensuite, on peut remarquer ses yeux, ses grands yeux d’un beau bleu terne. Il est terne, certes, mais il serait impossible de le confondre avec du gris. C’est bel et bien du bleu. Traces restées de son enfance, ses joues sont toujours légèrement rosées. Le reste de son visage et agréable. Un petit nez à peine retroussé et un ovale de jeune enfant la rendent adorable.

Sa silhouette, elle, n’a rien de particulier. Elle est plutôt petite avec son mètre soixante. Ses formes sont banales, rien d'extraordinaire. Elle fait un simple bonnet C. Une taille normale pour une jeune femme de son âge. Ce qu’il faut pour avoir des courbes harmonieuses et féminines. D’ailleurs, n’en doutez pas, mademoiselle est féminine. Elle aime être une femme et agi comme telle. Juste en plus insolente. Mais cela, c’est lorsqu’elle se rend invisible aux yeux des vivants. Si tout le monde pouvait la voir, elle ne le ferait pas. Mais si c’est juste un ou deux particuliers… De toute façon, elle fait ce qu’elle veut.

Son allure générale pourrait sembler banale. Il est vrai que la voir une première fois, vous ne vous direz pas « Ouah ! Quel canon ! ». En fait, son physique ne vous fera pas réfléchir. C’est avec le temps, à force de la voir que l’on finit par se dire « Tiens, elle est belle. » C’est un phénomène assez étrange. Mais l’on n’arriverait pas à se forger un véritable avis sur son apparence physique au premier abord. C’est juste ainsi. Mais une chose est sûre, la trouver laide est impossible. Ou alors messieurs, vous n’avez aucun goût.

#Tic ? On peut noter qu’elle frotte souvent son annulaire gauche avec son index et son pouce, comme pour enlever et remettre une bague imaginaire. Souvenir de sa bague de fiançailles perdue.
#Objet fétiche ? Nop, elle n’en possède pas.
#Un grand signe particulier ? Non plus.

IV/ Who are you ?

#T'es qui ? Moi ? Je suis le croque-mitaine qui se cache sous votre lit. Sinon, on m’appelle couramment Laura. Semblerait-il que les gens, lorsqu’ils n’entendent pas bien confondent avec Nora. Etrange phénomène. J’ai 15 jolies piges, je suis une passionnée de manga, de dessin et d’informatique. Et bien sûr, je m’adonne à cette activité que l’on nomme le RPG. Sinon je ne serait pas là ^^.

#Comment t'a connu le fo' ? Et bien… Je pense que là, je vais en étonnez plus d’un. Tout d’abord, laissez-moi vous conter cette merveilleuse aventure qui précède ma découverte de votre forum…
C’était un jour comme un autre, alors que votre cher et adorable croque-mitaine traînait sur un forum qu’elle fréquente depuis peu. Elle vit ces boutons si courant aux forums RPG. Les boutons de votes. Je ne peux plus. Je ne peux plus tenir ce suspens étouffant plus longtemps. Oh, Dieu, pardonne ma précipitation mais je meurs, je suffoque. Donc, elle vit ces boutons de votes, tout bleus, tous mignons et cliqua dessus, comme hypnotisée. Et là… Non, non, pas tout de suite. D’abord, il y avait une page ! Mais là, je dois avouer, l’excitation me fait perdre la mémoire. Mais je me souviens… oui… je me souviens que sur cette page, un choix s’offrir à moi. Et quel choix, messieurs mesdames ! Mais étrangement, l’hésitation ne fut longue et alors, je votais pour. Oui, pour ! Nous arrivons à la conclusion, celle où le suspens devient intenable et où frapper le conteur pour qu’il lâche le morceau devient de plus en plus tentant. Je disais donc, à cet instant précis, une page de topsite se mit à charger et à m’éblouir tant son divin était éclatant. A suivre…

#Qu'est ce qui t'a plu ? La découverte du jour, chapitre 2 par le grand, le magnifique, j’ai nommé : croque-mitaine ! Nous nous étions donc arrêtés… ah oui ! Elle arrivait sur la page du topsite et se mit à chercher, peinant à distinguer les divers résumés à travers toute cette brillance. Mais une bannière attira son regard noisette. Elle ne put s’en empêcher et cliqua dessus. « Akiyume No Mura ? Hmmm… Joli design ». Au début, elle se disait juste que c’était peut-être un peu trop simple mais se ravisa. C’était au final, bien agréable et reposant pour l’œil, comparé à tout ses design en surbrillance que l’on peut retrouver un peu partout. De plus, le rose est tout à fait adorable. Elle s’empressa donc de voir pour ses critères pratiques. Hmm… Il était actif, pas trop de monde. Sans doute un forum tout neuf, tout frais. Alors vint le moment, celui d’aller lire le contexte. C’était agréable à lire et l’histoire était intéressante et originale. Puis les règles. Parfaites, bien rédigées et organisées. Elle fut tout de même, graphiste dans l’âme bien malheureuse de voir que les avatars devaient être si petits. Mais ce n’était qu’un détail. Bref, ce forum remplissait tous les critères nécessaires. C’est donc ainsi qu’elle s’inscrit sous le pseudo de Yoshimaru Hisae. Fin.

#Une suggestion, mon enfant ? Ma petite histoire étant finie je vous répondrais normalement. Je pense que des boutons de votes propres au design du forum pourraient être sympathique, plutôt que de garder ceux par défaut fournis par les topsites. Mon autre suggestion serait de rajouter peut-être quelques informations dans le message d’accueil. Comme un petit résumé du contexte, le minimum de lignes qui souvent, pour moi, permet de me faire une idée du niveau des membres. Peut-être aussi quelques données temporelles et météorologiques. Par exemple le mois, l’année, la saison et si les précipitations sont fréquentes ou qu’au contraire, le beau temps et de rigueur. Je trouve ces informations intéressantes au niveau du RP. Et je proposerais de mettre plus en évidence les liens vers le règlement, le contexte etc. Je doit avouer que coincés entre le Staff et les topsites, je ne les avais pas vus. Sinon, peut-être devrais-je changer de lunettes ? ^^’ Après, plus d'informations sur les fantômes dans le topic des groupes seraient, je penses, les bienvenues.

#Et le règlement, tu l'as lu ? ~~Non, non, je ne lis pas ces choses là.~~ Oui, je l’ai lu et relus et je suis quasiment sûre de connaître le code. « Vu par Uri», si ma myopie ne me joue pas de méchants tours.

Je m'excuse du double-post, je vous préviens juste que j'ai finis ma présentation. Désolée si les descriptions sont un peu bâclés mais l'essentiel y est, c'est déjà ça.

Et merci pour les bienvenus ^^.

*Tsukiyo va me tuer mais c'est pas grave >.<)
Ta fiche est immense mais je te jure que j'ai tout lu. Elle est farpaite *o*
Et tu est validée ^^
Bienvenue chez les fantômes Yoshimaru Hisae. [Terminée] 778458

Au niveau des différents suggestions, il y en a plusieurs qui sont en cours de réalisation dans ma tête, les autres, je les retiens, ça pourra servir
Bon Rp parmi nous

Merci bien ^^. Nhappy d'être validée !!